Zuip ordonne et elle obéit. Toujours elle obéit.
« A genoux. Vite ! »
Aussitôt elle s’exécute.
« Tête baissée ».
« Je veux ton abnégation. Ton humilité ».
Elle ploie sous les mots. Ses épaules s’affaissent. Elle devient cette chose. Obéissante. Docile. Humble. Cette chose entre ses mains. Sous son regard. Prise dans l’obéissance. Cette chose qui toujours l’émeut.
« Empoigne ta chatte. «
« Triture. Malaxe »
Il bande de la voir obéir. Il bande de la voir presser, broyer sa chatte, toute sa vulve serrée dans sa main. Il écoute son souffle. Ses gémissements.
Pose sa main sur sa nuque. Sur son crâne. Il aime tenir son crâne dans sa paume. Faire ainsi d’elle sa femelle. L’attrape brusquement par sa tignasse. Et lui tire la tête en arrière.
Voir sa gueule ! Voir sa gueule dans l’obéissance et le plaisir.
« Continue. Et glisse un doigt dans ta chatte. Branle ».
Alors il la gifle.
Plusieurs fois. Fort. Elle en grogne.
« Branle. Branle plus vite. Branle plus fort. »
Elle est aux ordres. Elle obéit. Elle subit. Les gifles. Et sa bite qu’il promène sur son visage. Sur ses joue, son front, son nez. Il tourne autour de sa bouche. Avant de s’y engouffrer. Pour s’y imposer. Toute sa bite. Au fond. Qu’elle s’en étouffe !
Pour importe son plaisir à lui… Il ne se branle pas dans sa bouche. Il s’impose.
« Branle. Remplis-toi. Plusieurs doigts ».
Jusqu’à ce qu’il s’arrache à bouche. A sa bave. Qui coule.
Voir alors son regard. Ses yeux d’un bleu intense. Voir sa bouche suffoquant en manque.
Alors il attrape la cravache.
Pour dessiner ses courbes. Pour qu’elle craigne. Simplement la frôler.
Et s’agenouiller derrière elle. L’empoigner aux hanches. Fort. Il empoigne pour lui faire mal. Il empoigne pour l’encourager. Il l’empoigne pour la marquer. Il l’empoigne comme s’il la branlait.
Jusqu’à ce qu’elle jouisse.
« C’est ta seule issue ».